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bsr j'aimerais avoir une fille pour copine qui aime vraiment l'amour pas ceux qui aime pas interain un amour s
Par Anonyme, le 03.11.2019
c’est parfait
Par Anonyme, le 18.10.2019
en effet le très bon vin est un délice....... ...qui peut faire monter la tension .
en fait ,je ne bois que d
Par *****, le 20.09.2019
j'adore ce petit animal .
il y en a un autour de mon jardin, mais, je ne l'ai vu qu'une fois ,hélas.
quel qu
Par *****, le 20.09.2019
c'est triste pour une artiste .
Par *****, le 20.09.2019
Date de création : 17.02.2011
Dernière mise à jour :
04.03.2014
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Le vigneron est un travailleur de l’ombre.
Entre la vendange et la mise en bouteille, il multiplie les interventions pour magnifier une invention millénaire: la transformation du raisin en vin.
Du choix de la date de la récolte, qui varie selon les cépages et les expositions à la filtration.
Au cœur des magnifiques paysages de bourgogne, on découvre les grandes étapes de l’élaboration du millésime 2012.
Vous n'avez pas appris cela au catéchisme ...
Aux premiers jours de la création il n'y avait que deux rejetons :
Adam, beau mâle mais naïf et
Ève, magnifique femme fatale.
Or, il advint qu'un beau matin de printemps,
Notre radieuse Ève eut la dent !
Mais, aucun Macdo dans ce pays pourri,
Juste un arbre avec de rouges fruits !
Elle en prit une, par curiosité,
Et n'en fit que quelques bouchées !
Mais son créateur, voyant ce sacrilège,
De colère, il lui envoya un sortilège !
Aussitôt la Belle se sentit embarrassée,
De pectine, sa belle dentition s'était entachée !
Alors, voulant nettoyer ses dents,
Elle s'encourut voir le brave Adam !
Ce dernier, nu comme un ver,
Faisait une sieste par terre !
Mais voyant sa meuf bien foutue
Il lui proposa naïvement son attribut !
Dans sa bouche, notre Ève mit l'objet,
Et, se mit à frotter, heureuse et soulagée ...
Elle finit par retrouver ses blanches dents
Et c'est ainsi que naquit la brosse Adam !!!!
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Et si votre jardin était recouvert par des milliers de lumières scintillantes ? C’est à cela que s’emploie Bruno, un expert en lumières, qui habille les jardins de magnifiques parures de lumières. Des installations poétiques que l’on pourrait croire sorties tout droit de contes de fées.
C’est le talentueux Bruce Munro, expert en installation de lumière à grande échelle, qui a été sollicité pour orner le Musée Holburne de son inspiration. Déjà élogieusement reconnu pour ses créations au musée de Victoria et Albert à Londres, et au musée de Guggenheim à New York, sa prestation au Musée Holburne devait sans nul doute être attendue avec impatience.
Le gui européen est une plante parasite.
Elle se développe sur de nombreux arbres parmi lesquels les peupliers et les pommiers sont les plus sensibles. Cependant, il ne faut pas perdre de vue qu'il peut également s'attaquer aux Cônifères.
Les baies de gui ne contiennent qu'une seule graine chlorophyllienne entourée d'un tissu visqueux et collant, la viscine.
Les graines, disséminées par les oiseaux, restent collées sur le support grâce à la viscine qui durcit à l'air libre
Deux oiseaux amateurs de baies de gui, la fauvette et la grive.
La fauvette se nourrit de la partie sucrée et se débarrasse de la graine en essuyant son bec sur la branche, tandis que la grive avale les baies entières et rejette dans ses fientes les graines et les téguments.
Les graines mûres germent dès que les conditions externes sont favorables, sans aucun signal chimique provenant de l'hôte. De ce fait, elles sont capables de germer sur n'importe quel substrat, y compris des substrats inertes comme une plaque de verre ou une branche morte.
Germination des graines de gui et début de fixation sur l'hôte.
© Georges Sallé
Lorsque l'extrémité renflée de entre en contact avec une branche hôte, elle s'aplatit et se transforme en un cône de fixation dont les cellules prolifèrent activement et pénètrent dans les tissus de l'hôte à la manière d'un coin.
Cône de fixation. Ce stade marque la fin de la vie de la graine de gui.. © Dagmar Nierhaus-Wunderwald, la revue "Notice pour le praticien" 1997
A partir du coin de pénétration, un suçoir primaire se met en place. Il traverse radialement le périderme de l'hôte pour atteindre finalementle bois.
Ensuite, des cordons corticaux, qui sont des expansions latérales, parcourent longitudinalement l'écorce des branches. Enfin, des suçoirs secondaires se développent radialement dans le bois de l'hôte.
Pendant ce temps, la partie aérienne du parasite se développe en mettant en place deux feuilles opposées par an. La floraison des rameaux du gui ne débute que quatre à cinq années après la fixation.
Les "guis africains" appartiennent à la grande famille des Loranthacées. Ils ont à peu près la même biologie que le "gui européen" mais ils se développent plus rapidement (ils peuvent fleurir dès la première année) et les dégâts sont plus importants car les hôtes parasités sont des essences forestières (hévéa, karité, cacaoyer .. ) ou des agrumes. Dans la zone sahélienne, ils peuvent même entraîner la mort des arbres.
" Les maisons sont comme les gens, elles ont leur âge, leurs fatigues, leurs folies
Ou plutôt non :
ce sont les gens qui sont comme des maisons, avec leur cave, leur grenier, leurs murs et, parfois, de si claires fenêtres
donnant sur de si beaux jardins. "
(Isabelle Bruges, Christian Bobin)
Jardin anglais
Jardin zen
Jardin exotique
Jardin mystérieux
Ou caché...
Quel est le vôtre ?
Depuis une dizaine d’années en France, les jardins collectifs urbains se multiplient. Cultivés et animés par des habitants groupés en associations, ils améliorent le cadre de vie et permettent des échanges entre personnes de milieux sociaux et d’âges différents.
On pense tout de suite aux jardins ouvriers d’antan qui jalonnaient la périphérie de nos villes et qui faisaient partie des meilleures terres maraîchères du Pays.
Pour ceux de nos aïeux qui ont été contraints de déménager de la campagne à la ville au début du siècle, les municipalités avaient aménagé des parcelles cultivables au sein des agglomérationsou à proximité. Ces initiatives avaient pour but de renforcer la cohésion sociale auprès des populations déplacées mais aussi pour permettre aux ouvriers des usines de faire pousser des fruits et des légumes, pour compléter à moindre coût leur alimentation quotidienne.
Ces jardins remportent un vif succès et l’adhésion de nouveaux jardiniers est massive. Si l’on ne comptait qu’une petite centaine de jardins ouvriers ou « familiaux » en France au début du siècle, ils sont plus de 250 000 en 1945 !
Le concept ne date pas d’hier mais connaît un élan en France, reflet d’une prise de conscience pour adopter une alimentation plus saine et retrouver une solidarité dissoute dans l’individualisme. Les premiers jardins partagés sont créés dans les années soixante-dix à New York, lorsque la ville connaît une grave crise financière. Quantité de logements du centre sont délaissés, le paysage urbain se dégrade. Une artiste de Manhattan, Liz Christie, décide d’aménager une friche et crée ainsi le premier community garden en 1973. Depuis, 600 jardins communautaires ont vu le jour dans la Big Apple et des milliers à travers le pays. En France, le premier jardin collectif est créé en 1997 à Lille et le premier à Paris voit le jour en 2002. Dans certaines villes comme Strasbourg, Nantes ou Lyon, les jardins partagés existent depuis une dizaine d’années alors qu’ailleurs les initiatives sont récentes, comme à Metz. Mais les municipalités l’ont compris, jardiner à plusieurs est créateur de lien social et, pour certaines personnes, cela peut être un moyen d’intégration.
La démarche est la suivante : une association fait une demande de terrain à la mairie pour y cultiver des fleurs et des légumes. Au cœur de la ville, aux pieds d’immeubles, les jardins peuvent être créés partout.
« Le terrain idéal se situe au plus près des habitants, ouvert sur le quartier, ou pas trop isolé pour éviter d’être vandalisé »
Aujourd’hui, les jardins collectifs sont regroupés plus ou moins officiellement sous 3 grandes bannières :
- Les jardins familiaux, qui sont les anciens jardins ouvriers. Ce sont des parcelles de terrain pas toujours heureusement situées (au bord des grandes routes, dans des terrains vagues où la terre est médiocre, sans infrastructure d’irrigation…) ou bien sujettes à la spéculation immobilière et au développement urbain qui en signerait la mort. Les terrains sont parcellés et exploités individuellement. Les jardins familiaux sont de moins en moins nombreux, ils sont absorbés par l’urbanisation massive. Un projet de loi a vu le jour en 2003, pour les protéger grâce à un cadre administratif précis, mais celui-ci n’a pas été voté par le Sénat.
Même s’ils se raréfient, ils ont au moins le mérite d’exister et permettent souvent à des familles de profiter d’un petit bout de nature nourricière bienvenue.
- Les jardins d’insertion (sociale et par l’activité économique), s’adressent à des personnes en difficulté sociale ou en situation d’exclusion. Ils s’intègrent dans le cadre des chantiers de réinsertion et permettent de créer du lien social dans des milieux en crise ou éclatés. On les trouve parfois dans les quartiers subissant la désertification, ou dans des environnements où la mixité sociale est réduite. Se retrouver autour d’un petit lopin de terre a des avantages thérapeutiques. On recréer le lien avec la nature, avec les voisins, on favorise l’échange intergénérationnel, on rencontre de nouveaux amis, on découvre un centre d’intérêt…
Certains jardins d’insertion sont là pour favoriser le retour à la vie professionnelle. On y apprend un métier, on cultive, on récolte et on vend le fruit (ou le légume !) de son labeur. L’argent est réinvesti dans le jardin et servira à aider de nouvelles personnes. Le réseau Cocagne est un exemple de jardin d’insertion par l’activité économique qui confectionne, pour des adhérents-consommateurs, des paniers bios.
- Les jardins partagés ou jardins communautaires, sont là pour répondre à la demande croissante de nature des habitants de quartiers urbains. Le concept s’importe des Etats-Unis depuis une dizaine d’années et s’inscrit dans la regrettable raréfaction des jardins familiaux (pour les raisons précédemment citées). Ces jardins sont créés et gérés de manière collective. Ils sont souvent petits mais productifs et dynamiques. C’est le ras-le-bol du bitume et du béton qui incite des gens motivés et souvent bénévoles à organiser des fêtes, des actions pédagogiques, des évènements culturels dans ces lieux. Il existe également des jardins partagés financés par un groupe de personnes mais gérés par un ou plusieurs jardiniers salariés qui partagent ensuite la récolte entre tous les « investisseurs ».
Les jardins partagés sont de plus en plus nombreux dans les grandes villes françaises et sont soutenus par les mairies qui débloquent des terrains ou mini-espaces urbains.
PARC DU MERCANTOUR/LE CURE SE FÂCHE Ajouté le 07/31/2012 19:34:36 par Floralia |
Mercantour :
ça chauffe
entre locaux et « shérifs »
Les conflits se multiplient entre les gardes du Parc national du Mercantour et des habitants « terrorisés » qui dénoncent une application trop stricte du règlement. Même le curé vient d’être verbalisé
Intarissables, les habitants racontent comment les gardes armés les verbalisent pour un oui ou pour un non.
« C’est un peu navrant », explique le maire de Saint-Dalmas, Jean-Pierre Issautier. Photo AFP
« J ’ai peur de vous ! », lance un vieil homme, la voix tremblante, à un garde en uniforme du Parc national du Mercantour. Une scène qui en dit long sur les relations conflictuelles entre habitants et agents qui cohabitent pourtant depuis 1979.
D’un côté, les premiers, corsetés par une réglementation sévère, se sentent « brimés »
et « spoliés de leur terre ». De l’autre, certains agents trop zélés se prennent parfois pour les
« shérifs » du « Far East » azuréen.
La dernière anicroche remonte à début juillet, lorsque deux gardes décident de verbaliser une association de retraités qui tient une messe en lisière de parc, sur la commune de Saint-Dalmas-le-Selvage. Amende encourue : 1 500 euros.
Le curé en tombe de sa chaire.
La situation s’envenime quand, après une discussion houleuse avec le maire de Saint-Dalmas, Jean-Pierre Issautier, les deux gardes portent plainte contre l’élu pour « menaces de mort ».
Le vase vient de déborder : le maire de Nice et vice-président du parc, Christian Estrosi, dénonce un insupportable « affront » et stigmatise la réaction toute « bureaucratique » des gardes.
« Pour prier mon Dieu, il est hors de question que je demande l’autorisation à qui que ce soit ! » déclame-t-il, grandiloquent, samedi lors du traditionnel pèlerinage de la Bonette.
Difficile de faire la paix après une telle querelle. La direction du parc reconnaît « une maladresse » et tente d’apaiser le conflit en discutant avec les élus, mais de la vallée de la Tinée à celle de la Roya, plus à l’est, locaux et randonneurs n’ont qu’exaspération à la bouche.
Intarissables, ils vous racontent comment les gardes les verbalisent pour un oui ou pour un non ; une tente plantée à 18h45 au lieu de 19h00 ou la cueillette d’un panier de myrtilles ; comment ils « terrorisent » un vieux monsieur en lui intimant l’ordre de jeter les quelques pousses d’épinards sauvages qu’il vient de cueillir pour son omelette........
Point d’ancrage de ce ressentiment, la protection du loup qui, à intervalles réguliers, agit comme du sel sur une blessure fraîche.
La défense de l’environnement chère aux gardes se télescope parfois avec le quotidien des gens de la vallée.
A regarder les chiffres de plus près, le zèle des 45 gardes reste pourtant mesuré. Ainsi, en 2011, ils ont verbalisé 90 personnes. Leur planning atteste de la multiplicité de leurs interventions : outre la surveillance, ils balisent les sentiers, montent des projets pédagogiques, suivent des protocoles scientifiques…
Mais comment s’entendre quand on ne se fréquente pas ? Gaucherie ou animosité, certains agents se tiennent à l’écart des villageois.
Une promenade dans l'herbe ou que vous soyez
Les toits verts des fermes traditionnelles en Islande
TAPIS DE BAIN