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VOITURES ET VEHICULES DE COLLECTION

ASTUCE POUR BIEN LAVER SON VEHICULE

Publié le 02/09/2012 à 23:52 par floralia

Astuces pour bien laver sa voiture

 

 

 

 

 

 

 

 

Vous pensez encore que briquer sa

voiture rime avec produits toxiques,

litre d'eau et huile de coude

 

 

 

Détrompez-vous ! Quelques astuces permettent de faire briller les jantes, nettoyer les bas de caisse ou les vitres de votre véhicule en un tour de main. Et même sans eau... Démonstration.

 

 

Astuces pour des vitres impeccables

 

Passer une éponge imbibée d'eau tiède additionnée d'un peu de liquide vaisselle et de vinaigre blanc suffit à redonner de l'éclat à toutes les surfaces vitrées d'un véhicule (parois externes et internes des vitres, pare-brise, lunette arrière). Ce mélange permet aussi de lutter contre la buée.

 

Contre les traces de pluie, ajoutez 3 gouttes d'anti-calcaire à votre mélange.

 

Essuyez tout de suite avec du papier journal chiffonné puis faites briller à l'aide d'un torchon sec non pelucheux ou d'un chiffon microfibre pour éviter les auréoles.

Une fois nettoyées puis séchées, appliquez sur les vitres un décapant antireflet avec un torchon propre. Ou un produit lustrant spécial carrosseries à l'aide d'une peau de chamois. Vitres étincelantes garanties !

 

 

Sachez-le :

 

- En premier passage, frotter un chiffon imbibé d'un mélange de 3 cuillères à soupe de blanc de Meudon dans un demi-litre d'eau tiède fait glisser la pollution à laquelle est particulièrement exposée un véhicule. Et retarde le retour de la poussière.

- Pour retirer des autocollants et effacer les dépôts, vaporisez un peu de laque à cheveux. Laissez agir 5 à 10 mn avant de gratter doucement à l'aide d'une raclette rigide.

 

 

 

Des essuie-glaces en bon état assurent une meilleure visibilité et donc une bonne conduite. Une fois le pare-brise du véhicule lavé, nettoyez les raclettes avec un torchon et un mélange d'eau et de vinaigre blanc ou d'antigel. Essuyez-les à l'aide d'une éponge propre pour éviter que les essuie-glaces ne laissent des traces sur le pare-brise.

 

 

 

Faire briller les enjoliveurs au savon noir et gasoil

 

Les enjoliveurs peuvent être nettoyés de la même façon que les jantes. Mais pour les faire briller, vous pouvez préparer une solution composée à parts égales de gasoil et de savon noir liquide. Secouez jusqu'à ce que le mélange devienne homogène, puis répartissez le produit sur vos enjoliveurs à l'aide d'une brosse. Laissez poser une dizaine de minutes et rincez abondamment au jet d'eau.

 

 

Bas de caisse : au white-spirit

 

Un produit anti-goudron ou du white-spirit suffit pour enlever la boue et les restes de goudron qui se logent dans le bas de caisse de votre véhicule.
Utilisez un collant à la place d'un chiffon classique, il sera plus efficace pour débarrasser les insectes qui restent collés sur le bas de caisse ou ailleurs sur la carrosserie.

 

 

 

 

 

 

De l'huile de lin ou de vidange pour les pare-chocs

 

Un chiffon imprégné d'huile de lin est efficace pour l'entretien des pares-chocs. Toutefois, s'ils sont vieux, vous pouvez passer de l'huile de vidange ancienne dessus en laissant imbiber le plastique une dizaine de minutes avant de nettoyer. Autre astuce pour éliminer les taches de rouille, frottez les parties altérées à l'aide d'un oignon coupé en deux

 

 

 

CES DRÔLES D'OBJETS VOLANT

Publié le 05/04/2013 à 22:53 par floralia Tags : voiture société

 

Malgré des siècles de promesse,  ces voitures volantes restent largement du domaine des films et des romans. Mais une foule de nouveaux projets espère enfin prouver le contraire.

 

Au fil des années, il ya eu des tentatives ambitieuses  comme le Aerocar Taylor.
 
Le nombre sans cesse croissant de véhicules sur les routes tente à prouver qu'un véhicule qui pourra s'élever dans le ciel demeure une option attrayante.

"Nous devons essayer de diminuer la congestion sur nos routes, et une solution potentielle serait un véhicule aérien", explique le Dr Michael Sauter, professeur en aérospatiale à l'université de Liverpool au Royaume-Uni.

Il est à l'origine partie d'un partenariat d'entreprises et de projets qui visent à assurer la voiture volante ne restera pas à terre un autre siècle.

 

 

 

 

L'une des  tentatives les plus médiatisés  Terrafugia est un avion qui pourra replier ses ailes, ce lui permettra ainsi de fUne fois en l'air, le véhicule dispose d'une gamme de 740 kilomètres (460 miles) avec un seul plein d'essence ordinaire sans plomb, et peut transporter deux personnes et leurs bagages.onctionner comme un véhicule routier . 

 

 

 

 

 
La machine qui a réussi son vol d'essai coutera près de 300,000 dollars
 
 
 
 
 
 
 
 
 La machine, mise au point par une société néerlandaise, est en fait un autogire, avec une hélice à l'arrière pour fournir poussée vers l'avant et un rotor libre rotation de donner le soulever. Sur le terrain, il agit comme un tricycle rationalisée qui est capable de se pencher dans lesvirages à haute vitesse.
 
Il dispose de prestations similaires (560km/350 miles) et la vitesse de la Transition (110mph/180 km / h) et devrait également coûter autour de $ 300.000. L'entreprise est toujours à la recherche d'investissements pour aider à ce qu'il appelle «la naissance d'une nouvelle catégorie de véhicules".
 
 
 
 
 
 
La voiture volante du futur
 
Le système est un hybride d'un avion léger et d'hélicoptères.Il possède trois rotors de type hélicoptère, mais elles sont intégrées à l'intérieur de la grande aile triangulaire qui forme la surface supérieure de l'appareil, une de chaque côté, et une sur le dos.Ces rotors embarqués sont connus comme des soufflantes carénées, ce qui peut créer une plus grande poussée à une plus grande sécurité, mais avec moins d'efficacité.

"Nous avons opté pour quelque chose qui est capable de s'élever à la verticale, plutôt que d'avoir à se rendre à votre aérodrome local, et nécessitant une piste," a déclaré le Dr Sauter
 
 
 
 

LA CADILLAC BLINDEE D'AL CAPONE

Publié le 31/07/2012 à 22:15 par floralia

 

La Cadillac blindée d'Al Capone

 

 

 

Cadillac type 341A Town Sedan 1928 (ex-Al Capone).

Une somptueuse Cadillac 1928 blindée ayant appartenu au gangster de Chicago Al Capone risque de faire des malheurs à la vente aux enchères organisée par RM Auctions à la fin du mois à Plymouth, au Michigan.

Cette berline, une type 341A Town Sedan fabriquée sur le châssis numéro 306449, aurait été vendue par le Capone à l’époque où il avait été emprisonné pour une affaaire d’évasions fiscales, en 1932.

Depuis, elle est passé entre les mains de différents collectionneurs. On l’a vue aussi dans quelques musées (entre autres celui de Niagara) où elle a fait le bonheur des visiteurs.

Cette Cadillac avait une carrosserie peinte en vert et noir pour ressembler aux autos qu’utilisait la police de Chicago à l’époque. Elle avait aussi une sirène et un projecteur orientable fixé au montant du pare-brise.

Son acheteur avait demandé qu’elle soit conçue de sorte à le protéger des tirs ennemis. Voilà pourquoi on l’avait dotée de près de 1 400 kg de blindage à l’épreuve des balles utilisant des plaques d’acier et de plomb enveloppées d’amiante, de même qu’un vitrage de 2,5 cm d’épaisseur.

Restaurée à quelques reprises, cette voiture aurait perdu son vitrage blindé (qui avait tendance à jaunir rapidement). Par contre, on lui a laissé sa lunette arrière qui s’abaisse à l’aide d’une manivelle, et qui était prévue à l’origine pour servir de meurtrière au besoin.

De même, les vitres latérales avaient été conçues pour être relevées un peu plus que nécessaire, juste assez pour faire apparaître des ouvertures circulaires du diamètre d’un canon de mitraillette destinées à permettre un tir latéral sur des voitures ennemis roulant en parallèle !

Cette voiture unique à laquelle les experts de RM Auctions prêtent une valeur de 300 000 à 500 000 $ sera offerte aux collectionneurs durant l’encan qui aura lieu le 28 juillet prochain, dans le cadre du Concours d’Elegance of America à Plymouth, au Michigan.

Plus de 70 voitures de collections anciennes et contemporaines y seront offertes. Parmi celles-ci, mentionnons une Packard Twelve coupé cabriolet 1933 qui serait peut-être la dernière Twelve à avoir été produite (250 000–325 000 $), une Ford GT 2005 en parfait état et affichant un très bas kilométrage (175 000–215 000 $), l’une des trois Lincoln modèle L sedan décapotable 1930 de Derham encore en existence (celle qui était exposée au salon de l’auto de New York de 1930; 140 000–170 000 $); une berline Chrysler Town & Country 1948 à très faible kilométrage (100 000–125 000 $) et un très rare coupé Baker Electric Special 1912 qui a été entièrement restauré (75 000–125 000 $).

 

 

 

LA RENTREE DE VOTRE VOITURE

Publié le 02/09/2012 à 23:48 par floralia

 

 

 

HE OUI CETTE SEMAINE RENTREE DES CLASSES ET DE NOS PETITES TÊTES BLONDES QUI UNE NOUVELLE FOIS VONT PLEURNICHER EN QUITTANT LEUR MAMAN

 

 

 

MAIS LOIN DE CE CLICHE C'EST AUSSI LE MOMENT RÊVE DE PENSER

 

A............

 

 

 

 

 

DEVINEZ QUOI ?

 

 

 

La rentrée de notre véhicule

 

 

Très importante également car faute d'entretien, de lourdes factures vont encore

se rajouter à toutes les augmentations que ramene traditionnellement la fin d'année

 

 

 

 

 

 

Début septembre, c'est encore trop tôt pour se lancer dans la préparation de la voiture pour l'hiver. Mais pour le mécanicien du dimanche, quelques inspections de base, préventives, peuvent faciliter la transition vers la saison froide.

 

C'est le moment de dresser un bilan visuel du véhicule, d'évaluer sa condition générale, de guetter les signes anormaux et de faire les ajustements nécessaires.

 

 

1- Consultez le manuel du constructeur.

 

D'abord et avant tout. «Ce petit manuel qui somnole dans le coffre à gants est trop souvent négligé.

C'est le mode d'emploi de l'automobile.

Il contient une mine d'or de renseignements sur l'entretien du véhicule, tout ce qu'il convient de savoir.»

 

 

2- Nettoyez le véhicule.

 

À l'intérieur comme à l'extérieur. Le débarrasser des traces de sable, de feuilles et de nourriture, derniers vestiges des vacances.

Ce sera l'occasion de faire un premier bilan de l'état général de la voiture, des retouches à faire, des réparations incontournables..

 

 

3- Procédez à une vérification sous la voiture.

 

Ne s'improvise pas mécanicien qui veut, précise . Aussi un état des lieux, un rapide coup d'oeil avec la lampe de poche, renseignera sur la situation

 

 

4- Posez-vous la question: est-ce le bon moment pour un changement d'huile?

 

Si vous avez beaucoup sillonné les routes cet été, la réponse est peut-être oui. Chaque véhicule a ses particularités. 

Trois éléments sont à prendre en considération: «À quand remonte le dernier changement d'huile?

Combien de kilomètres ont été parcourus depuis?

Que dit le constructeur à ce sujet?» Il faut se fier au manuel, encore une fois

 

 

5- Vérifiez la pression et l'usure des pneus.

 

Afin de s'assurer d'avoir la meilleure adhérence possible à la route. Penser aussi à examiner le pneu de secours!

 

 

 

 

 

 

 

 

6- Faites le ménage du coffre arrière et des banquettes.

 

Délestez-le du poids superflu, des objets qui seront bientôt inutiles, accumulés pendant les vacances.. C'est le moment de faire de la place pour l'équipement d'hiver.

 

 

 

7- Examinez le niveau des liquides.

 

 

De l'huile à frein, à transmission, à radiateur. «C'est le garagiste qui veille habituellement à ces vérifications, mais pour les curieux qui souhaitent s'en mêler, la marche à suivre, se trouve dans le manuel du constructeur. Toutes les étapes y sont détaillées.»

 

 

 

8- Nettoyez les roues, si la poussière s'y est accumulée.

 

 

Il suffit de les rincer à grande eau.

 

 

 

 

9- Testez la performance des essuie-glaces.

 

 

Le plastique peut avoir été altéré par la température, le soleil et la chaleur notamment. Faisaient-ils un bon travail de dégagement d'eau lors de la dernière pluie? Cela peut donner un bon indice de leur bonne (ou moins bonne) condition.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

MUSEE GILMORE/PLACE AUX PLUS BELLES VOITURES DU MONDE 1

Publié le 19/07/2012 à 20:23 par floralia

 

Musée Gilmore :

 

place aux plus belles voitures du monde

 

 

Le musée Gilmore, situé à environ deux heures à l’ouest de Detroit. 

 

Ce dernier regroupe une incroyable collection de véhicules spectaculaires, datant principalement de la période d’avant-guerre. 

 

En voici quelques uns à ne pas manquer.

 

 

 

Photo : Daniel Rufiange

 

 

Packard V-12 Rumble Seat Coupe 1939

 

Voulant remplacer Packard comme plus important fabricant américain de voitures de luxe, Cadillac introduit en 1930 ses modèles à moteurs V12 et V16. Ce geste a lancé la course aux plus gros moteurs parmi la concurrence du segment à l’époque, soit Pierce-Arrow, Lincoln, Packard et Marmon. Ironiquement, tout cela se déroule avec en trame de fond la grande crise économique de 1929; un non-sens en quelque sorte

En 1939, pour la dernière fois, un V12 logeait sous le capot d’une Packard. Il avait été introduit en 1934. La voiture présente au musée Gilmore fut la première à être produite équipée d’un V12 en 1939 et avait été équipée, en option, d’une radio, de pneus de secours montés sur les côtés et d’un support à bagages, entre autres.

 

 Prix d’une Packard V12 en 1939 : 4140 $

 

 

 

 

Photo : Daniel Rufiange

 

 

Franklin Model D Touring 1909

Ce modèle avancé par Franklin en 1909 combinait l’agilité d’une petite voiture et le confort et la puissance d’une grande berline. Pesant à peine 2000 livres, son rapport poids/puissance était impressionnant pour l’époque. Ce modèle excellait lorsque venait le temps de gravir une pente raide. Même si plusieurs voitures plus puissantes étaient vendues à d’autres adresses en 1909, très peu pouvaient rivaliser de vitesse avec la Model D Touring de Franklin.

 
Cette dernière venait équipée de lampes et d’outils, mais comme c’était la coutume à l’époque, le toit et le parebrise étaient seulement livrables en option.
 
Prix d’une Franklin Model D Touring en 1909 : 2800 $
 
 
 
Photo : Daniel Rufiange

 

 

Cord 812 Beverly Sedan 1937

Les Cords des 1936 et 1937, des véhicules à traction, étaient parmi les plus spectaculaires au niveau du design à cette époque. Dessinée par Gordon Buehr, elle mettait de l’avant un museau complètement différent, une grille arrondie et les premiers phares escamotables qui étaient opérés manuellement à l’aide de manettes situées de chaque côté du volant dans le tableau de bord.

 
Prix d’une Cord 812 Beverly en 1937 : 2545 $
 
 
 
Photo : Daniel Rufiange

 

 

Packard Model 30 Runabout 1908

En 1908, la compagnie Packard était bien établie et reconnue comme l’une des marques de luxe de l’industrie automobile américaine. À l’époque, on parlait des trois P de l’automobile : Pierce-Arrow, Peerless et Packard. Quelque 1300 exemplaires de cette Packard Model 30 Runabout ont été produits en 1908.

 
Prix d’une Packard Model 30 Runabout en 1908 : 4200 $
 
 
 
Photo : Daniel Rufiange

 

 

GMC 1-Ton Potato Truck 1924

Ce camion GMC a été acheté neuf en 1924 par Posen Elevator, une entreprise spécialisée dans l’entreposage de produits agricoles de la ville de Posen, au Michigan. Cette ville de 300 habitants est l’hôte d’un festival annuel de la patate qui attire des milliers de personnes. C’est une des villes qui se dit être la capitale mondiale de la patate.

 
Toujours est-il qu’en 2000, ce camion a été retrouvé intact et plutôt bien préservé. Il a été entièrement restauré, mais possède toujours sa boîte en bois originale. Même l’inscription « Michigan Grown Potatoes » peinte sur le côté a été méticuleusement recréée.
 
Prix de ce camion GMC en 1924 : 1295 $
 
 
 
Photo : Daniel Rufiange

 

 

Lozier Briarcliff 1910

La voiture faite d’une carrosserie en aluminium de Lozier était reconnue pour sa durabilité et sa fiabilité. Les publicités de la compagnie disaient à l’époque que son prix élevé était légitime. C’était l’une des seules voitures américaines de son époque qui se vendait plus de 5000 $. Remarquez la présence d’un siège sur le côté de la voiture. Il devait être utilisé par le chauffeur ou le mécanicien, lorsque les services de ce dernier n’étaient pas requis.

 
La compagnie Lozier s’est fait connaître dans le monde de la course automobile, fracassant records par-dessus record. C’est une Lozier qui a terminé deuxième lors de la présentation de la première course de 500 miles à Indianapolis.
 
Prix d’une Lozier Briarcliff en 1910 : 5000 $
 
 
 
Photo : Daniel Rufiange

 

 

Buick Model 32 Roadster

La Buick Motor Car Company a été fondée en 1903 par David Buick, un plombier de Detroit reconnu pour avoir créé le procédé qui a permis la création de bains en porcelaine blanc. La compagnie Buick a servi de base à William Durant pour la fondation de la General Motors.

 
Entre 1908 et 1902, l’équipe de course Buick, dont l’un des pilotes était Louis Chevrolet, s’est inscrite à de nombreuses épreuves et en a remporté plus de 500. En 1909, Buick a même remporté une course avec un de ses avions! Deux Buick 1911 ont participé à la première épreuve des 500 miles d’Indianapolis; aucune n’a réussi à franchir le premier tour.
 
Prix d’une Buick Model 32 Roadster en 1911 : 800
 
 
 
Photo : Daniel Rufiange

 

 

Oldsmobile Autocrat Race Car 1911
Cette voiture de course a été achetée neuve en 1911 par John Henry Greenway Albert, un type du Maryland qui a participé à de nombreuses courses au volant de cette voiture, dont il avait adapté la carrosserie pour la course. Il a conservé la voiture jusqu’à sa mort, en 1968. La voiture était équipée d’un moteur à 4 cylindres de 500 pouces cubes et développait 40 chevaux.

 
Prix d’une Oldsmobile Autocrat en 1911 :
3500 $
 
 
 
Photo : Daniel Rufiange

 

 

Packard 5-Passenger Touring 1910

Au tournant des années 1910, les choses vont plutôt bien chez Packard qui emploie alors 6000 personnes. Le modèle 18 que vous apercevez était la première tentative de la compagnie visant à réduire la taille de ses voitures. Ainsi donc, l’exemplaire présent sur cette photo utilisait un empattement plus court, un plus petit moteur de 18 chevaux et était moins coûteux, tout en étant construit avec le même respect des standards de qualité de la compagnie. Les gens préféraient toutefois le modèle 30, plus gros. Ce dernier s’est vendu trois fois plus que le modèle 18 qui ne s’est écoulé qu’à 766 exemplaires.

 
Prix d’une Packard 1910 : 3200 $
 
 
 
Photo : Daniel Rufiange

 

 

Pierce-Arrow Model R8 5Ton Motor Truck 1917

La compagnie Pierce-Arrow est d’abord et avant tout reconnue pour sa fabrication de voitures de grand luxe. Cependant, l’entreprise fabriquait aussi des vélos, des motocyclettes, des roulottes et des camions commerciaux. À l’aube de la Première Guerre mondiale, la demande en camion était sans cesse croissante. En 1917, Pierce-Arrow produisait 7000 camions dont la plupart prirent le chemin du vieux continent. La même année, l’entreprise ne fabriqua que 2500 automobiles.

 
Après la guerre, plusieurs camions Pierce-Arrow sont devenus disponibles et à prix très raisonnables. Tristement, très peu ont traversé l’épreuve du temps.
 
L’exemplaire présent au musée Gilmour a été acheté par la municipalité de Butte, au Montana, et a servi au transport de conduits utilisés dans la construction du réseau d’aqueduc de la ville. Le camion a été retiré de la circulation par la ville en 1937 et est demeuré remisé jusqu’en 1957.
 
Prix d’un Pierce-Arrow Model R8 en 1917 : 4500 $
 
 
 
Photo : Daniel Rufiange

 

 

Pierce-Arrow Model 54 Convertible Sedan 1932

Le modèle Convertible Sedan offrait à son propriétaire le loisir de transformer sa voiture selon son envie du moment. Les piliers situés au centre étaient amovibles. Lorsqu’ils étaient retirés, la voiture était transformée en véritable décapotable. Cette Pierce-Arrow était équipée d’un moteur V12 de 429 pouces cubes qui développait… 150 chevaux.

 
Prix d’une Pierce-Arrow Model 54 en 1932 : 4200 $
 
 
 
Photo : Daniel Rufiange

 

 

Dort 5-Passenger Sedan 1922

La marque Dort n’est pas la plus connue de l’histoire de l’automobile, mais sans elle, la General Motors n’aurait peut-être jamais vu le jour. En effet, son fondateur, J. Dallas Dort, était un bon ami de William Durant, celui qui va éventuellement fonder General Motors. En 1886, Durant et Dort avait fondé une entreprise spécialisée dans la confection de carrioles. Lorsque Durant a quitté la firme pour acheter Buick et créer GM, c’est Dort qui lui a fourni le support financier dont il avait besoin. Un an avant sa mort, J. Dallas Dort se retire du milieu et vend ses installations à la Checker Motors.

 
Prix d’une Dort en 1922 : 1195 $
 
 
 
Photo : Daniel Rufiange

 

 

Duesenberg Model JN Cabriolet Convertible 1935

La crise économique de 1929 a pratiquement détruit le marché des voitures de grand luxe de la trempe de Duesenberg. En 1933, le taux de chômage atteignait 24.9 % et même ceux qui avaient les moyens de se payer une telle automobile étaient hésitants à le faire, ne voulant pas étaler leur richesse devant un monde frappé par la pauvreté. Cependant, Duesenberg comptait sur une clientèle fidèle, notamment originaire d’Hollywood.

 
Seulement 4 modèles JN Cabriolet ont été construits et le premier fut acheté par le légendaire acteur Clark Gable. Ce modèle fut le seul équipé d’un compresseur à la sortie de l’usine. Il n’affiche que 16 500 miles au compteur. Ce serait la Duesenberg affichant le plus petit millage, encore existante.
 
Prix de vente en 1935 : 16 000 $
 
 

 

Mots-clés: FLORALIA COLLECTIONS

 

 

 

MUSEE GILMORE/PLACE AZUX PLUS BELLES VOITURES DU MONDE 2

Publié le 19/07/2012 à 20:29 par floralia

 

Musée Gilmore :

 

 place aux plus belles voitures du monde

 

 

 

 

Photo : Daniel Rufiange

 

 

Packard Custom Eight Phaeton 1930

 

En 1930, le nom Packard est synonyme de prestige. Il y avait d’autres marques plus luxueuses, mais pas aussi désirables. 50 % des voitures de luxe vendues dans le monde étaient des Packard à l’époque.

 

 

 

Cette Packard 1930 mettait pour la première fois à profit une transmission à quatre rapports, des feux de position montés sur les ailes ainsi qu’un siège et un volant ajustable pour le conducteur. Cette édition est aussi équipée de pneus de secours montés de chaque côté.

 

Prix de vente en 1930 : 3190 $

 

 
 

 

Photo : Daniel Rufiange

 

 

Duesenberg Model JN Cabriolet Convertible 1935

La crise économique de 1929 a pratiquement détruit le marché des voitures de grand luxe de la trempe de Duesenberg. En 1933, le taux de chômage atteignait 24.9 % et même ceux qui avaient les moyens de se payer une telle automobile étaient hésitants à le faire, ne voulant pas étaler leur richesse devant un monde frappé par la pauvreté. Cependant, Duesenberg comptait sur une clientèle fidèle, notamment originaire d’Hollywood.


Seulement 4 modèles JN Cabriolet ont été construits et le premier fut acheté par le légendaire acteur Clark Gable. Ce modèle fut le seul équipé d’un compresseur à la sortie de l’usine. Il n’affiche que 16 500 miles au compteur. Ce serait la Duesenberg affichant le plus petit millage, encore existante.
 
Prix de vente en 1935 : 16 000 $
 
 
 
Photo : Daniel Rufiange

 

 

Lincoln KB Dietrich Convertible Sedan 1932

En 1925, Lincoln ouvrait son propre atelier de fabrication de carrosserie afin d’être capable de suivre la marche imposée par la concurrence. Edsel Ford a engagé Raymond Dietrich, qui travaillait pour la firme LeBaron de New York, et l’a fait déménager à Detroit. Dès lors, les modèles Lincoln connurent une gloire instantanée en raison de leur design de renommée mondiale, fruit du travail de l’un des plus grands designers de l’époque.

 
Prix de vente en 1932 : 8000 $

 

 
 
 
 
Photo : Daniel Rufiange

 

 

Duesenberg Model J Dual Cowl Phaeton 1929

Ce ne sont pas les gens riches qui s’achetaient des Dusenberg à l’époque, mais bien des gens ultras riches. En 1929, cette Duesenberg, dont la carrosserie était signée LeBaron, se vendait 20 000 $. Ça, c’était le prix de deux douzaines de Ford Model T.

 

 

 

Photo : Daniel Rufiange

 

 

Auburn 851SC Boat Tail Speedster 1935

La crise économique de 1929 a durement frappé la firme Auburn. En 1934, elle n’a presque plus de ressource pour développer un nouveau modèle pour 1935. Avec un petit budget de 50 000 $, elle emploie la designer de Dusenberg Gordon Buehrig. Ce dernier refait la grille avant et les lignes du capot et ajoute des tuyaux d’échappement à découvert au moteur V8 qui remplace le moteur V12.


Pour créer le nouveau modèle, Buehrig se sert de 100 carrosseries qui n’avaient pas été utilisées par le programme Speedster de la compagnie en 1933. Il dessine un arrière en forme de queue de bateau et harmonise le reste des lignes. Le résultat est peut-être la voiture la plus spectaculaire produite par l’entreprise.

Le plus beau de l’histoire, c’est que la voiture ne se vendait
que 2245 $. Auburn a perdu de l’argent sur chacun des 97 modèles qu’elle a vendus.
 
Prix d’une Auburn 851SC en 1935 : 2245 $
 
 
 
Photo : Daniel Rufiange

 

 

Mercedes-Benz 540K Sport Tourer 1938

L’histoire de cette Mercedes-Benz 540K est renversante. Le propriétaire de cette voiture, voulant la protéger pendant la guerre et empêcher les Américains et les Russes de mettre la main dessus après la guerre, l’a caché dans le garage souterrain de sa résidence de Dresde, une ville qui incidemment a été rasée de la carte par les alliés en 1945. L’homme a ensuite construit un mur de brique à l’entrée de son garage souterrain et a rempli l’entrée de terre pour y construire un jardin.


Après la chute du régime nazi, l’Allemagne a été divisée en deux et la ville de Dresde s’est retrouvée en territoire soviétique. L’auto est donc demeurée cachée pendant près de 60 ans et n’a été recouverte qu’après la chute du mur de Berlin.
 
Sa restauration a été complétée en 2005.
 
Prix d’une Mercedes-Benz 540K Sport Tourer en 1938 : 10 000 $ (estimé)
 
 
 
Photo : Daniel Rufiange

 

 

Stutz Monte Carlo 1933

Le nom Stutz, s’il vous dit quelque chose, vous renvoie peut-être à la course automobile. En 1911, Harry C. Stutz avait construit une voiture pour courir la première édition des 500 miles d’Indianapolis. Il avait réussi à rallier l’arrivée en 11e position. Par la suite, Stutz a offert des versions pour la route de ses bolides de course et a gagné l’admiration des amateurs.


Stutz s’est aussi spécialisé dans la fabrication de voitures de luxe et cette Monte Carlo était la plus grosse et la plus chère qu’il proposait en 1933. Elle utilisait une carrosserie en aluminium signée Weymann, reconnu alors pour la légèreté de ses carrosseries.
 
Prix d’une Stutz Monte Carlo en 1933 : 6595 $
 
 
 
Photo : Daniel Rufiange

 

 

Lincoln Model L 4-Door Limousine 1929

Voilà une autre voiture qui se présente, incroyablement, dans son état d’origine. Elle avait fait l’objet d’une commande spéciale d’une dame de la ville de Greenwich, au Connecticut. Lors de la livraison de la voiture, la dame n’était pas heureuse et exigea que la voiture soit reprise afin qu’on lui installe les ailes et la grille du radiateur avant des modèles 1928 qu’elle préférait. Le pneu de secours ne repose pas sur le côté, la dame ayant exigé qu’il soit monté à l’arrière afin qu’elle profite de plus de protection en cas d’impact à l’arrière.

 
Prix d’une Lincoln Model L en 1929 : 6200 $
 
 
 
Photo : Daniel Rufiange

 

 

Lincoln Four Passenger Phaeton 1922
La compagnie Lincoln a vu le jour en 1917 alors que Henry Leland a reçu un contrat exigeant de lui la construction de 6000 avions pour l’effort de guerre. À la fin du conflit peu de temps après, il a converti son usine pour l’adapter à la production d’automobiles et les premières Lincoln ont vu le jour en 1921. Un an plus tard, sa firme éprouvait déjà des difficultés financières et a été rachetée par Ford au coût de 12 millions de dollars.


En 1922, 5767 Lincoln sont produites et du nombre, seulement 255 ont été produite alors que Henry Leland était toujours à la tête de la compagnie.
 
Prix d’une Lincoln en 1922 : 4600 $
 
 
 
Photo : Daniel Rufiange

 

 

Pierce-Arrow Model 41 Limousine 1931
Cette limousine a sans doute été l’un de mes coups de cœur lors de cette visite au musée Gilmore, simplement parce qu’elle n’a jamais été restaurée. Elle se présente sous son aspect d’origine et on peut comme l’épreuve du temps l’a transformé.


C’est un millionnaire excentrique qui avait demandé à Pierce-Arrow de lui construire deux limousines identiques, l’une bleue, l’autre rouge. Il voulait que ces dernières empruntent des éléments stylistiques qui lui rappelaient sa Pierce-Arrow 1913, notamment la présence des phares devant la grille et non intégrés aux ailes avant. La voiture devait aussi être équipée de lampes, d’un porte-bagages sur le toit et de deux téléphones qui permettaient la communication entre le chauffeur et la cabine.
 
Prix de cette Pierce-Arrow Model 41 en 1931 : 9500 $
 
 
 
Photo : Daniel Rufiange
 
 

Delahaye 135M Convertible Coupe 1939

C’est en 1894 que Delahaye assemble ses premières automobiles, à Tours, en France. La compagnie a certes produit d’incroyables voitures au cours de son histoire, mais elle a aussi fabriqué des véhicules utilitaires, des camions et des moteurs de bateaux. C’est la compagnie Delahaye qui a donné à Paris ses premiers véhicules destinés à combattre les incendies.


Cependant, après la grande dépression de 1929, la compagnie avait besoin de produire des véhicules incroyables si elle voulait survivre. En 1934, la firme introduit la 135 et la Coupe des Alpes, deux bolides sportifs, puissants et légers.
 
Prix d’une Delahaye 135M en 1939 : nd
 
 
 
 
 
 
 

VOITURES CELEBRES

Publié le 19/07/2012 à 22:00 par floralia

 

 

 

Aston Martin DB5

 

 

 

Le film? Goldfinger

 

Pourquoi? Il ne s’agit pas de la voiture la plus incroyable qu’a conduite James Bond, mais c’est celle qui a lancé la mode. On ne s’attend pas vraiment à trouver des gadgets aussi avancés dans une voiture, encore moins un bolide de luxe comme une Aston Martin. C’est justement ce qui rend cette voiture spéciale : il n’y a qu’au grand écran qu’on arrive à croire qu’une Aston Martin puisse être équipée de déchiqueteuses de pneus rétractables!

 

 

 

 

 

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Lotus Esprit

 

Le film? L'espion qui m'aimait

Pourquoi? C’est une voiture. C’est un sous-marin. Presque toutes les voitures confiées aux bons soins de James Bond sont démesurément exagérées, mais celle-ci demeure l’une des plus mémorables.

 

 

 

 

 

 

Ford Thunderbird 1966

 

Le film?Thelma et Louise

Pourquoi?Cette conclusion.

 

 

 

 

 

 

 

XB Ford Falcon 1973

 

Le film?Mad Max (1 et 2)

Pourquoi? Pour un véhicule qui se veut l’incarnation de la vitesse, du danger, des cascades et un aperçu d’un avenir qu’on n’est pas prêt à accepter, la XB Ford Falcon est ma préférée au titre de plus grande voiture hollywoodienne de tous les temps. Elle est menaçante et rapide, elle a du caractère et elle convient parfaitement à Mel Gibson et à son personnage d’antihéros. Si vous n’avez encore jamais vu Mad Max, allez tout de suite vous en procurer une copie.
Voici un vidéo… prenez garde aux collisions, aux scènes d’action et au langage salé…

 

 

 
 
 

 

 

Volkswagen Beetle, « Herbie »

 

Le film? Il y a eu plusieurs films mettant en vedette Herbie la coccinelle…

Pourquoi? La Beetle se vendait déjà comme des petits pains chauds avant que ce film soit réalisé, mais ce qui rendait cette voiture si attachante, c’est qu’elle éprouvait des émotions. Je craque encore pour la petite Herbie.

 

 

 

 

 

Cadillac Ambulance 1959

 

Le film?S.O.S. Fantômes (1 et 2)

Pourquoi?Les références sont nombreuses avec cette voiture, mais quoi de mieux qu’un vieux corbillard pour poursuivre les fantômes?

 

 

 

 

 

 

 

DMC DeLorean

 


 

 

Le film? Retour vers le futur (1, 2 et 3)

 

Pourquoi? Cette voiture a-t-elle vraiment besoin de présentation? La série « Retour vers le futur » a fait connaître la DeLorean à la grandeur du monde, et celle-ci continue de surfer sur cette vague de popularité. Et ce, même si cette voiture est absolument épouvantable à tous points de vue…

 

 

 

 

 

 

La Batmobile

 

Le film? La série télé Batman, évidemment

Pourquoi? Voilà la version originale de la Batmobile, avec son fameux Batphone. Je me demande si Bruce Wayne a déjà reçu une contravention pour avoir été distrait au volant…

 

 

 

Ford Mustang 390 GT Fastback 1968

 

Le film? Bullitt

 

Pourquoi? D’abord, Steve McQueen participe à la plus longue poursuite de voitures jamais filmée. Il sillonne les rues de San Francisco, conduit comme un déchaîné et réussit à mettre la main sur le fugitif (si on entend par là projeter sa voiture dans un barbecue pleine grandeur)

 

 

 

 

 

Chevrolet Nova 1971

 

Le film? À l’épreuve de la mort

 Pourquoi?Comme Christine, la Nova semble avoir été conçue pour la destruction. Elle n’était pas à toute épreuve, mais c’est le seul véhicule dont vous ne vouliez absolument pas croiser le chemin…

 

 

 

Chevrolet « One-Fifty » 1955

 

Le film? Two-Lane Blacktop

Pourquoi? Il s’agit d’un film de route… dans lequel deux personnes vivent dans leur voiture. Évidemment, il y a plusieurs aventures, comme des courses d’accélération illégales, sans compter le son enivrant du moteur V8…

 

 

 

GMC VanDura

 

Le film? En fait, une série télé qui est devenue un film : L’Agence tous risques

Pourquoi? 99,9 % du temps, les fourgonnettes ne présentent que peu d’intérêt. Il s’agit ici d’une très, très rare exception. C’est un peu comme Shérif, fais-moi peur… mais avec une fourgonnette.

 

 

 

 

 

 

 

Porsche 911 Turbo

 

 

Le film? Mauvais garçons

 

Pourquoi? N’avez-vous jamais rêvé de conduire une Porsche comme celle de Will Smith dans le film Mauvais garçons?

 

 

 

 

 

 

Porsche 911 turbo 1995